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Abeilles:

février 25th, 2016

Abeilles:

Un apiculteur a mis au point un dispositif astucieux capable de mettre ce redoutable dévoreur d’abeilles hors d’état de nuire. Son principe est simple: capturer les jeunes reines avant qu’elles ne fondent une nouvelle colonie.

Le frelon asiatique (Vespa velutina) n’a plus qu’à bien se tenir! Introduit accidentellement en France il y a une douzaine d’années dans des conteneurs en provenance de Chine, ce féroce prédateur d’abeilles sévit aujourd’hui sur quasiment tout le territoire national, hormis le nord des Alpes, le Jura, les Vosges, la Champagne, les Ardennes et la Flandre. Une calamité pour les apiculteurs, déjà confrontés au phénomène de mortalité des ruches, mais aussi pour les jardiniers et les agriculteurs qui ont besoin des abeilles pour assurer la pollinisation de leurs cultures, en particulier des arbres fruitiers.

Bac de capture préventive

Victime lui aussi de cet envahisseur, Denis Jaffré, apiculteur dans le Finistère et coprésident de l’Association Action anti-frelon asiatique, a trouvé une parade astucieuse pour mettre fin au cauchemar. «En 2014, j’ai perdu six ruches mais je n’ai découvert le coupable qu’à l’automne: deux énormes nids de Vespa velutina, cachés jusqu’alors par les feuilles, étaient perchés sur des arbres à moins de 200 mètres de mon rucher» confie-t-il. C’est le déclic: l’année suivante, il décide d’expérimenter pour la première fois le «bac de capture préventive» qu’il vient de mettre au point. Un dispositif aussi simple qu’efficace qui permet d’attirer et d’éliminer les reines au printemps avant qu’elles ne fondent une nouvelle colonie.

Un puissant attracteur

Le résultat est éloquent: «entre début mars, période où elles sortent d’hibernation, et fin juin, j’ai capturé 13 reines, ce qui m’a permis d’empêcher, compte tenu de la compétition à laquelle elles se livrent, la création de 3 à 4 nids dans mon environnement immédiat et de ne déplorer aucune prédation sur mes ruches» poursuit-il.

Le principe consiste à attirer ces jeunes reproductrices au moyen d’un puissant attracteur: du miel de lierre cristallisé récolté à l’automne, broyé et amalgamé avec de la cire provenant d’une ruche saine (pour éviter la propagation de parasites comme la loque américaine) que Denis Jaffré dispose dans un grand bac métallique (60 X 70 cm minimum) posé sur des tréteaux (voir photo ci-dessus). Le tout est placé à l’air libre, mais à l’abri de la pluie, dans un lieu bien éclairé en veillant à ce que le soleil ne fasse pas fondre l’appât.

Boulimie glucidique

«À la sortie de l’hiver et pendant tout le printemps, les reines ressentent une véritable boulimie glucidique, explique-t-il. En se gavant de sucre, elles accumulent les réserves d’énergie nécessaires pour leur future activité de reproductrice. Le mélange miel-cire libère des senteurs qui attirent toutes les femelles dans un rayon que j’estime à environ 1,5 km.»

La capture proprement dite s’effectue au moment de la visite quotidienne soit avec un bocal à large ouverture doté d’un couvercle , soit avec un pic à brochettes enduit de glu arboricole soit avec un petit aspirateur à main. Aucun risque de se faire piquer: «à cette période de l’année, les jeunes reines ne pensent qu’à se nourrir et ne sont absolument pas agressives» assure Denis Jaffré. En outre, contrairement à un piégeage classique, le bac de capture préventive est très sélectif: les reines de bourdons sauvages, de guêpes ou de frelons européens (inoffensif pour les abeilles) sans parler des abeilles butineuses attirées elles aussi par les effluves odorantes, ne sont pas capturées.

«Simple, efficace, sélectif et propre»

À noter que s’il n’y a pas de lierre de la région, on peut remplacer le miel de cette essence par de la cire broyée d’opercules mielleux récoltée au printemps dans des ruches saines.

Dernier avantage de cette méthode révolutionnaire: elle ne coûte rien -son inventeur (vespavelutinabzh@orange.fr) dispense ses conseils gratuitement- et elle est à la portée de tous: particuliers mais aussi communes ou intercommunalités. «Les chercheurs continuent de chercher et moi je trouve en un an un truc tout simple, efficace, sélectif et bio» lance-t-il, sarcastique. Selon lui, la destruction des nids revient à environ 300.000 euros par an et par département, soit une addition de 20 à 30 millions d’euros à l’échelle du pays. Le tout en pure perte car, d’année en année, le frelon asiatique ne cesse de proliférer…

Aider nos amies les Abeilles « par Pollinis »

novembre 19th, 2015

Cher ami,

Des millions de citoyens ignorent encore la gigantesque entourloupe qui a eu lieu cet été à Bruxelles, et les arrangements en catimini des lobbies agrochimiques pour faire autoriser, au mépris des lois protégeant les pollinisateurs, un nouveau pesticide tueur d’abeilles dernière génération, le Sulfoxaflor (1).

Aidez-nous à faire éclater le scandale !

Alors même que les règlements européens exigent que des tests abeilles soient menés avant la mise sur le marché de nouveaux pesticides(2), et que l’EFSA, l’Autorité sanitaire européenne, elle-même reconnaît que ces tests n’ont pas été menés – alors que d’après son rapport le produit présente un « risque élevé pour les abeilles »… (3)

… les lobbies agrochimiques ont réussi par un tour de force incroyable à faire autoriser ce pesticide en Europe. Et ce, alors qu’il vient même d’être interdit aux Etats-Unis à cause de sa toxicité sur les pollinisateurs ! (4)

Ces puissants groupes de pression disposent d’un arsenal incroyable pour influer sur les décisions européennes – je vais vous en dire plus dans quelques lignes.

Aujourd’hui Pollinis a besoin de votre soutien pour révéler ces abus le plus largement possible en Europe, et convaincre un maximum de citoyens qu’il devient urgent de s’opposer massivement, par notre nombre et notre poids, aux actions qui permettent à quelques grosses firmes agrochimiques de faire la loi en Europe.

Savez-vous comment les lobbies s’y prennent pour imposer leurs produits aux institutions européennes ?

Infiltration des comités scientifiques : comme personne dans les institutions européennes n’est capable de mener les tests scientifiques nécessaires pour évaluer la dangerosité d’un pesticide sur les abeilles(5), les autorités sanitaires délèguent ce travail à un groupe « informel » d’experts, l’ICPBR (International Commission on Plant-Bee Relationships) qui, lui, est composé aux deux tiers par… des membres de l’industrie agrochimique !(6)

Infiltration des comités consultatifs : parmi les 943 conseillers à l’agriculture auprès de la Commission européenne, 80% représentent des groupes d’intérêts qui défendent l’agriculture intensive, ou viennent directement de l’industrie agro-alimentaire. Ces conseillers sont là entre autres pour… aider la Commission dans l’autorisation de nouvelles substances en Europe ! (7)

Armées de lobbyistes sur place à Bruxelles pour faire pression directement sur les décideurs politiques, tisser des réseaux jusque dans les bureaux les plus reclus de la Commission, organiser des RDV privés dont aucun compte-rendu n’est disponible… Au total, ce sont plus de 400 lobbyistes professionnels qui travaillent ainsi d’arrache-pied à Bruxelles pour défendre les intérêts de l’agrochimie et l’agriculture industrielle. Et en face, à peine une poignée de défenseurs des citoyens pour les contrer…

Financements scientifiques et académiques de grande ampleur pour blanchir leurs produits. C’est par exemple la fameuse bataille des études scientifiques qui a eu lieu ces derniers mois à Bruxelles au sujet des pesticides néonicotinoïdes : alors qu’une bonne centaine d’études indépendantes montrent la nocivité extrême de ces pesticides pour les abeilles (8), l’agrochimie se paye de son côté un nombre encore plus grand d’études démontrant le contraire. Résultat : les autorités européennes chargées de trancher ont été inondées par les études de l’agrochimie, et il a fallu une mobilisation incroyable des scientifiques et des associations de citoyens qui les soutiennent pour continuer à peser dans la balance !

Chantage à la délocalisation et pressions diverses sur les responsables politiques : Quand, malgré cette mainmise incroyable sur les décisions européennes, les citoyens arrivent à convaincre la Commission et le Parlement d’agir dans leur intérêt… les lobbies utilisent l’appareil juridique ! C’est ce qui s’est passé avec le moratoire sur les trois néonicotinoïdes : après une bataille de deux ans des associations de citoyens, d’apiculteurs et de défenseurs de l’environnement, la Commission a été contrainte d’interdire pendant deux ans trois de ces pesticides tueurs d’abeilles : Résultat : Bayer, BASF et Syngenta ont immédiatement démarré un procès. (9)

Alors oui, on peut le dire : les lobbies ont leurs pions partout. Et la bataille va être longue pour que les citoyens reprennent le pouvoir qui leur a été confisqué.

Mais quand je vois les avancées cruciales que nous avons obtenues, vous et moi, dans notre combat pour la protection des abeilles, de la nature et de notre alimentation, je me dis que nous avons les capacités d’organiser rapidement le contre-pouvoir citoyen qui manque terriblement aujourd’hui à Bruxelles. A condition de s’y prendre correctement, et que chacun mette un peu la main à la pâte.

Jamais la Commission européenne n’aurait promulgué d’interdiction partielle des pesticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles (et n’aurait été sur le point de les interdire définitivement !) si nous n’avions sonné le tocsin avec les apiculteurs, et n’avions mobilisé les citoyens à travers toute l’Europe – 1 million de personnes regroupées derrière le slogan #StopNeonics !

Petit à petit, et grâce au soutien des membres de Pollinis, notre association s’est équipée et renforcée, nous avons gagné en expérience et en connaissance du terrain.

Si bien que, quand l’industrie agrochimique est revenue à la charge avec son pesticide tueur d’abeilles dernière génération, le Sulfoxaflor, nous étions prêts pour la riposte :

– Nous avons immédiatement levé le lièvre : ce pesticide autorisé pendant l’été, malgré les mises en garde des autorités sanitaires, a fait l’objet d’une procédure exceptionnelle qui ne respecte pas les lois européennes protégeant les pollinisateurs !

– Nous avons mené l’enquête : à Bruxelles d’un côté, pour comprendre comment les lobbies avaient pu réussir un tel tour de force dans la plus grande discrétion ; et auprès de la communauté scientifique de l’autre côté, pour découvrir ce que nous craignions déjà : que ce pesticide a sur les abeilles le même effet que les néonicotinoïdes en passe d’être interdits !

– Nous avons dénoncé le scandale, auprès des médias, des institutions, et des politiques, et nous avons immédiatement lancé la contre-offensive en mobilisant plus d’une centaine de milliers de citoyens en quelques jours.

Une procédure d’objection a été déposée au Parlement européen pour annuler la décision de la Commission – elle a été, on pouvait s’y attendre, aussitôt déboutée – et un collectif d’apiculteurs va porter l’affaire auprès de la Cour de Justice de l’Union Européenne.

C’est une force de frappe que nous ne pouvions que rêver d’avoir il y a encore deux ans !

Mais c’est encore malheureusement bien insuffisant pour contrer l’influence des lobbies agrochimiques à Bruxelles, leur armée de lobbyistes et leurs connexions dans toutes les institutions et comités consultatifs qui existent !

Pour organiser efficacement et rapidement un contre-pouvoir citoyen qui puisse vraiment peser dans la balance face à l’agrochimie – notre lobby à nous, les défenseurs de l’abeille et de la nature – il n’y a pas 36 solutions : nous devons être nombreux, et nous devons trouver un financement.

Car vous le savez, ce qui fait la force des lobbies qui défendent les intérêts de l’agrochimie, ce sont les budgets exorbitants – des dizaines de millions d’euros – que les firmes industrielles leur déversent chaque année.

En face, nous ne pouvons pas espérer rivaliser sans un minimum de moyens.

Bien sûr je ne suis pas en train de dire que de simples citoyens doivent pouvoir sortir des millions. ici à Pollinis, nous n’avons pas besoin de ce genre de budget : tout le monde travaille pour le combat, pas pour l’argent !

Mais pour pouvoir installer un bureau permanent à Bruxelles, au plus près des institutions, pour surveiller les manœuvres des lobbies de l’agrochimie, déjouer leurs combines et les dénoncer publiquement pour les tuer dans l’œuf – avant qu’elles ne mettent en péril l’alimentation et la santé de toute la population ! – nous avons besoin de réunir rapidement un budget de 120.000 euros.

C’est une somme, j’en suis très conscient. Mais il suffit que 4000 personnes donnent 30 euros pour que ce budget soit bouclé et que nous puissions étendre immédiatement le réseau de surveillance des lobbies à Bruxelles, pour leur couper l’herbe sous le pied à la moindre nouvelle attaque sur les abeilles, l’environnement ou notre santé !

Aussi, je vous le demande : pouvez-vous SVP contribuer dès aujourd’hui, par votre don, à organiser cette contre-offensive aux lobbies à Bruxelles ?

Notre objectif dans les semaines à venir est clair :

Faire éclater le scandale du Sulfoxaflor partout en Europe, et montrer à des millions de personnes à travers tout le continent les manœuvres des lobbies de l’agrochimie pour faire autoriser leurs produits nocifs pour les abeilles et l’environnement, au mépris des lois et de la volonté des citoyens.

– Organiser un contre-pouvoir sur place, au plus près des institutions, pour mener l’enquête, déjouer dans l’œuf les combines des agrochimistes, et les empêcher de sacrifier impunément notre alimentation et notre santé pour sécuriser leurs profits.

Aussi, si vous pouvez nous aider à mener ce plan de bataille à terme, rapidement, nous vous en serons tous très reconnaissants ici à Pollinis. Quelle que soit la somme que vous pourrez donner (15, 30, 50, 100 ou 200 euros, ou même plus si vous le pouvez !) ce sera une aide précieuse.

L’enjeu est gigantesque.

Si nous ne nous dressons pas d’urgence, tous ensemble, face à l’industrie agrochimique et son armée de lobbyistes, si nous les laissons faire la loi impunément à Bruxelles, non seulement il sera trop tard pour faire interdire le pesticide tueur d’abeilles dernière génération qu’ils viennent de faire autoriser de façon scandaleuse, mais la voie sera libre pour eux pour faire passer n’importe quelle nouvelle substance dévastatrice pour les pollinisateurs et la nature !

Les colonies d’abeilles qui résistent tant bien que mal aux cocktails d’intrants toxiques qui sont déversés dans les champs sont déjà trop fragilisées pour supporter de nouvelles attaques chimiques… Et qu’adviendra-t-il quand elles auront été décimées, elles qui sont responsables de la reproduction de 80 % des plantes que nous utilisons ou consommons ?

Arrêtons le massacre, dès maintenant. Je compte sur vous, et vous remercie par avance pour votre engagement et votre soutien dans ce combat crucial pour l’avenir des abeilles et de la nature.

Nicolas Laarman

Délégué général

Pour faire un don à Pollinis, cliquez ici

Références :

  1. RÈGLEMENT D’EXÉCUTION (UE) 2015/1295 DE LA COMMISSION du 27 juillet 2015 portant approbation de la substance active «sulfoxaflor».
    Pour plus d’informations, voir Les lobbies agrochimiques font autoriser le Sulfoxaflor, un pesticide tueur d’abeilles dernière génération
  2. RÈGLEMENT (CE) no 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques, et modifiant l’annexe du règlement d’exécution (UE) no 540/2011 de la Commission.
  3. EFSA (European Food Safety Authority), 2014.Conclusion on the peer review of the pesticide risk assessment of the active substance sulfoxaflor. EFSA Journal 2014;12(5):3692,170pp. doi:10.2903/j.efsa.2014.3692
  4. Le dossier de la bataille juridique sur le site américain Earthjustice
    La décision de la Cour d’Appel américaine (Case: 13-72346)
  5. Corporate Europe Observatory et European Beekeeping Coordination, novembre 2010, Le futur des abeilles est-il entre les mains du lobby des pesticides ?
  6. La faillite de l’évaluation des pesticides sur les abeilles (Le Monde du 09 juin 2012)
  7. Lire le rapport et les recommandations adressées à la Commission par le Médiateur européen (European Ombudsman) sur le sujet : Decision of the European Ombudsman closing her own-initiative inquiry OI/7/2014/NF concerning the composition of Civil Dialogue Groups brought together by the European Commission’s DG Agriculture
    Ou les dossiers de Corporate Europe Observatory sur le sujet :
    European Ombudsman calls for ‘structural’ reform of DG AGRI Expert Groups
    Parliament freezes problematic expert groups budget for second time in four years
  8. Taskforce on systemic pesticides, Worldwide integrated assessment of the impacts of systemic pesticides on biodiversity and ecosystems
  9. Demande d’annulation du règlement d’exécution (UE) n° 485/2013 de la Commission, du 24 mai 2013, modifiant le règlement d’exécution (UE) n° 540/2011 en ce qui concerne les conditions d’approbation des substances actives clothianidine, thiaméthoxame et imidaclopride et interdisant l’utilisation et la vente de semences traitées avec des produits phytopharmaceutiques contenant ces substances actives (JO L 139, p. 12) :

Bayer : http://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf?docid=144414&mode=lst&pageIndex=1&dir=&occ=first&part=1&text=&doclang=EN&cid=143210

Syngenta : http://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf?text=&docid=144446&pageIndex=0&doclang=FR&mode=req&dir=&occ=first&part=1&cid=144112

BASF : http://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf?text=&docid=146343&pageIndex=0&doclang=FR&mode=req&dir=&occ=first&part=1&cid=144112

 
Pollinis Association Loi 1901
143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org

Bonjour a cette association

mars 22nd, 2015

Dans une association à Lille,

 

LES AMIS DES AVEUGLES CIVILS ET DES AVEUGLES DE GUERRE DE LA
FRANCE RECONNUE D’UTILITÉ PUBLIQUE ( Décret du 25 avril 1924 )

 

Tél: 03 20 54 82 66
Site internet: www.amisaveuglescivilsetguerresnord.com

 

E-mail: lesamisdesaveugles@orange.fr
siège social: 236, rue Nationale – 59800 LILLE

 

Je dois voir le président et je lui demanderai de faire la présentation

Groenland : feu vert à l’exploitation d’uranium

novembre 26th, 2013

Faut il en passer par là pour une économie……?   Ici

Grippe aviaire : quel danger pour l’homme ?

octobre 26th, 2013

Avis d’expert:  H5N1, H7N9: Les récentes études  Ici

On a fait grandir des poulets à l’électricité

août 26th, 2013

IL y a cent ans dans le Figaro Ici

Je jardine sans pesticides

juin 4th, 2013

Je jardine sans pesticides Ici

Opéra de Lille en audio-description

juin 4th, 2013

Opéra de Lille Ici

Bon Dimanche

septembre 30th, 2012

Bon dimanche à tous,

Aujourd’hui spectacle au club avec des artistes « William Schotte » compagnie aece.

Bonne journée

JMF

Mon permier article

septembre 29th, 2012

Séjour prévu un peu plus tard notre amie vient que le 08/10/2012 « cause assemblée d’association »  et comme elle est la secrétaire donc…..!!!. Ce couché de soleil est de 2011

à bientôt

Amitiés

JMF