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Jean-Marc
Novice en jardinage
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mercredi 28 septembre 2011 à 09:03
Bonjour, Pour l'instant j'ai peu de liserons mais en dehors de l'arrachage ou bâchage pour l’asphyxier je ne vois pas grand chose. Je dis que j'en ai peu mais je ne me fais pas d'illusion, même si j'arrache, le fait de passer de temps en temps la motobineuse va favoriser la repousse des racines qui restent en terre. Voici ce que je viens de trouver sur le net (pour l'exemple):
Citation : Moyens de lutte Avant l'arrivée des herbicides, la lutte contre le liseron nécessitait par exemple, en culture céréalière, deux années de jachère avec de très nombreux sarclages, tous les 10 à 15 jours de mai à septembre, sans forcément réussir à l'éliminer. Du côté de la recherche en bio, quelques expérimentations semblent prometteuses :
la lutte biologique, avec un acarien qui s'attaque aux feuilles de liseron, ou avec des souches de rouille spécifiques ;
l'utilisation d'un désherbeur thermique tracté, précédé d'une lame qui soulève partiellement les racines avant de les brûler. Mais les applications pour les jardiniers ne sont pas pour demain.
À défaut de pouvoir éliminer totalement le liseron, il faut accepter de vivre avec et lui rendre la vie difficile.
Essayez de ne pas le multiplier, en évitant d'utiliser une motobineuse ou une fraise sur les planches où il pousse : chaque tronçon de racine va donner de nouveaux plants. Demandez-vous si sa présence n'est pas liée à un excès de fertilisation. Réduisez vos apports et faites-les seulement sur la ligne de culture, tout comme les arrosages. Vous pouvez également essayer le semis d'un engrais vert nettoyant à l'automne, par exemple le mélange seigle-vesce, à faucher au printemps, ou bien du sarrasin semé en juillet-août et fauché en novembre. Sur un bout de terrain envahi de longue date, il vous reste encore la possibilité de recouvrir le sol d'une bâche plastique opaque ou d'une vieille moquette, durant une, voire deux saisons complètes, en enterrant les bords. Le liseron finira par épuiser ses réserves en cherchant en vain la lumière. En cas de présence plus disséminée, vous pouvez prendre soin d'extirper soigneusement les racines en travaillant le sol à la fourche à bêcher ou, mieux, à la grelinette. Un travail ingrat mais efficace, si l'on prend soin de ne pas fractionner les racines ni de les mettre sur le compost !
A bientôt JM
"Il faut vivre simplement pour que d'autres simplement vivent" Gandhi
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Chtismis
Maître webjardinautes
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mercredi 28 septembre 2011 à 09:33
Bonjour je crois que Jean-Marc t'a apporté une bonne réponse "de plus hier sur un post Bernard en disait au tant pour la multiplication de cette sale herbe".....!!! Bon courage et bonne journée JM
«On apprend à hurler avec les loups.» [ Jean Racine ] - Les plaideurs
Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune. » (Proverbe Chinois) C’est dans l’adversité que se révèlent les vrais amis. (Cicéron) La honte n'est pas toujours la conscience du mal que nous faisons, elle est souvent la conscience du mal qu'on nous fait. (Paul Morand) Nous sommes des Trésors de l'humanité appelés à disparaître.
Mon blog Info pollinis
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Ω jben Modérateur
Jardinier(e) émérite
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mercredi 28 septembre 2011 à 09:38
Sans vouloir être pessimiste.... tu te lance LE défis du jardinier ! Il faut penser à retourner ta terre à la main et ne pas avoir peur de descendre d'une hauteur de bêche minimum... et "filtrer" ta terre en retirant le maximum de racines...
Et dès l'apparition de nouvelles pousses, reprendre la racine au plus bas...
C'est malheureusement la seule solution que j'aie trouvé ; l'huile de bras et la surveillance, car c'est vraiment LA plaie du jardin d'ornement ou du potager pour moi ! (Seule consolation, mes lapins en raffolent !)
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christi
Jardinier(e) connaisseur
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lundi 3 octobre 2011 à 16:05
bonjour,
on m'avait donné une astuce qui marche bien, puisque une partie de mon liseron a disparu.
j'habite ma maison depuis plus de 3 ans, en arrivant, j'ai retourné tout le terrain, pour arracher le liseron, j'ai creusé à plus de 60cm, mais, comme je n'avais pas le bout de la racine, cela a repoussé, j'ai donc, sur 1 conseil, planté des ½illets d'inde à proximité. cela a repoussé mais plus fragile et cette année, il y a des endroits ou il a totalement disparu.donc je pense que l'année prochaine, il y en aura encore moins.
de plus, les ½illets d'inde , c'est pas vilain.
Marie-Christine nouvelle Bretonne du Morbihan , mais venant de la Sarthe
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