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Marie-Adelaide
Graine de jardinier(e)
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vendredi 8 janvier 2010 à 23:12
Saint-Fiacre : Ah, bon ? Je ne savais pas. Si je contreviens aux règles, prière de me prévenir, car je débarque à ce propos-là. Dan, Momone et Chat Teigne : les rampants et les petites fleurs, c'est une idée. Si ça ne gene pas mes chats, moi non plus. En fait, dans le jardin (clos de murs) il y a déjà plein de choses (beaucoup trop pour sa taille) tout autour, plus un bouleau qui a poussé tout seul, un buddleia qui permet aux chats de grimper sur les murs et un lilas. La pelouse, c'est au milieu de tout ça, aussi pour permettre d'aller d'une bordure à l'autre, s'il y a des choses à y faire (et il y a !). Mais j'ai encore deux mois pour y penser. Pour l'instant, on a - 8°C la journée, et une bise qui donne l'impression qu'il fait bien plus froid que ça. Soit dit en passant, les chats errants trinquent salement, même avec des caisses et des couvertures dans les caves. Chaufferette aujourd'hui, parce que ça dure depuis trop longtemps. J'ai remarqué quand même que, par ce temps, ils préfèrent les croquettes à de la nourriture chaude, et je me demande bien pourquoi. Pas l'habitude peut-être. Bonne nuit à tous et merci pour les conseils. (Et, Dan, je n'oublie pas la radio).
Marie-Adelaide
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Ancien membre
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samedi 9 janvier 2010 à 04:20
Bonjour Marie-AdélaÏde,
Dans ma rue, il n'y a pas de chats errants, ni dans le village à ma connaissance. A la campagne, les chats ont presque toujours un toit et une famille. Les chats perdus sont généralement récupérés par un ou plusieurs foyers, à lui de choisir la meilleure table. Ceux de mes voisins viennent souvent chez moi, en visite pour un calin ou une gâterie. Pas les voisines et puis c'est aussi bien, enfin elle viennent mais pas pour les mêmes motifs que les chats.
Edité samedi 09 janvier 2010 : 04:21 par Saint Fiacre
Edité samedi 09 janvier 2010 : 04:22 par Saint Fiacre
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+ iledebeaute
Jardinier(e) émérite
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samedi 9 janvier 2010 à 08:49
Bonjour,
Je vais combler mes trous " sans herbe " avec des graines de trèfle blanc, c'est parait-il résistant à la sécheresse !! Peu m'importe la ' sorte ' d'herbe, pourvu qu'il y ait de la verdure....
Nina - Haute CorseCALENDRIER LUNAIRE MENSUEL" Montrez-moi votre jardin, dites-moi qu'il est bien le vôtre et je vous dirai qui vous êtes " (Alfred Auston).
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Marie-Adelaide
Graine de jardinier(e)
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dimanche 10 janvier 2010 à 15:09
À tous : Le trèfle blanc peut-il survivre dans un terrain trop pauvre et trop humide ? J'en doute. Chats errants : pas du tout pareil la ville et la campagne. Les chats errants des villes sont principalement des chats abandonnés à tous âges. Les petites femelles, non stérilisées, sont la proie de tous les mâles en manque et mettent bas portée sur portée. Qui survivent comme elles peuvent, en slalomant entre les voitures. Ceux qui, comme moi, les récupèrent, atteignent un jour ou l'autre leur niveau de saturation, et même si on essaie de nourrir les non récupérés et de leur réserver des abris (principalement dans des caves), il en reste qui ont trop peur des humains ou des autres chats et n'arrivent pas à se nourrir - malgré la bouffe qui reste et qu'on doit jeter - et à s'abriter, en dépit des caisses et autres niches à couvertures qu'on leur offre. Les villes, même petites, c'est vraiment l'enfer pour les bêtes (pigeons aussi, ô combien) parce que la proportion de tarés semble être plus élevée dans les villes qu'ailleurs. Les causes d'abandons de chats sont nombreuses : en premier viennent les abandons pour départs en vacances ou de portées non désirées de chattes qu'on n'a pas pris la peine de stériliser, ensuite viennent les gens qui ont des chats qui leur survivent ; les héritiers ou autres n'en ont rien à f... de l'animal de compagnie et se contentent généralement de le mettre à la rue et de fermer la porte derrière. Il y a aussi les chats dont les maîtres déménagent et qui reviennent dans leur quartier d'origine poussés par l'instinct. Mais en général, la barbarie humaine est le facteur déterminant. Il y a aussi les pigeons, qui s'abritent dans des immeubles où on laisse - à dessein - des fenêtres ouvertes (par exemple, bâtiments classés, qu'on ne peut abattre que lorsqu'ils sont irrécupérables). Quand le but est atteint, on chasse les pigeons... qui cherchent un abri ailleurs. Il suffit qu'ils dérangent, par leur présence, quelque tenancier de baraque à frites ou à hot dogs, pour que la persécution des autorités commence (filets métalliques tendus pour les priver de refuge, quand ce n'est pas capture globale et extermination sans gants) Sans compter les quelques arbres qui leur restaient, abattus pour des raisons diverses. C'est vrai que ça rendrait n'importe qui misanthrope. Mais je ne voudrait pas vous attrister.
Marie-Adelaide
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Ancien membre
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lundi 11 janvier 2010 à 06:01
Les chats sont très prolifiques, et c'est là le problème. La stérilisation d'une femelle est encore trop coûteuse pour certains. Les départs en vacances ne sont pas forcément synonyme d'abandon pour un chat contrairement aux chiens. Cela va te faire hurler mais je serais pour l'euthanasie systématique de chats qui manifestement sont totalement errants. Il s'agit pour ces animaux d'accès à la vie sauvage avec tout ce que cela comporte, maladies, agressivité, intrusion chez les personnes et reproduction galopante. Maintenant, en ce qui concerne les pigeons, c'est un autre problème. Il y a un véritable danger pour le patrimoine historique et la salubrité publique, le pigeon est souvent porteur de parasites et beaucoup de personnes présentent des allergies quelquefois graves. En France, nourrir les pigeons sur la voie publique est une infraction.
Edité lundi 11 janvier 2010 : 06:02 par Saint Fiacre
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