Le jardin de plein champ est sans doute l'ancêtre de nos jardins actuels , puis il y eut les jardins de Curé, bien protégés entre quatre murs, en Provence une haie de cyprès ou de roseaux protègent les maraichages , les serres existent depuis peu , permettent d'allonger la période de récolte mais ne valorisent pas la qualité gustative. Nous avons nos jardins au milieu des vignes et il arrive parfois que la cohabitation avec certaines bestioles pose quelques problèmes ,mais moins que des chats en milieu urbain Des pigeons sont venus picorer mes pois gourmand quand ils sortaient : j'ai mis un grillage quelques jours et l'incident est clos , l'an dernier c'est un lapin qui trouvait mes choux à son goût ,je l'ai invité à diner et il a fini en civet ; tu vois que le jardinage plein champ ne manque pas de charme !!! Grelinette !
:"Quand on sait ce qu'on sait, quand on voit ce qu'on voit on a raison de penser ce que l'on pense !
Quand j'étais môme, il y avait plein de jardins en dehors du village, on les appelait des chenevières (je ne sais pas pourquoi car on n'y cultivait pourtant pas du chanvre, du moins à cette époque).
Je n'ai pas souvenance qu'il y avait des pertes dues à la gourmandise des animaux, sauf exception d'une ou 2 vaches baladeuses.
Par contre, de nos jours, le plus gros risque est à mon avis lié aux voleurs à 2 pattes, et ces prédateurs sont hélas nombreux et particulièrement culottés pour s'approprier sans trop d'efforts les récoltes des jardiniers laborieux.
Édité 1 fois - Dernière édition: 18/03/2014 à 20:45 Par Momone.
Momone
"A chaque recoin Plante un arbre, porte lui soin, Il te le rendra bien" Proverbe alsacien
"Mieux vaut remplir ses greniers, que ses coffres". Proverbe chinois