Bonsoir jjelpe,

Merci pour vos infos.
Vous avez une bonne longueur d’avance (the grass looks greener on the other side of the fence !), c’est sûr que ceux de Géromine font envi !

J’ai lu également qu’il fallait porter attention au lieu d’implantation du (des) pied(s) de consoude, car la racine peut descendre jusqu’à 3m de profondeur. De combien de pieds doit-on disposer pour son besoin personnel ?

A+

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N'y a-t-il pas un risque similaire à celui de la prèle (colonisation) ?

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Bonsoir Odium,

Donc il faut attendre que les chaumes sèchent sur pied avant de les couper.

J’ai deux variétés de jeunes noisetiers chez moi, ils produisent de grosses noisettes qui sont délicieuses. L’an dernier fût le premier avec une production significative (tout est relatif). Cela fera la deuxième fois que je les déplace. La première fois ils étaient trop près des énormes sapins du voisin et en souffraient. Comme je suis toujours en retard sur mes plannings, je vais être obligé de les déplacer à nouveau, alors qu’ils sont déjà grands, pour les mettre à leur place définitive à l’arrière de la maison. Il va falloir que je les entoure de soins pour qu’ils n’en souffrent pas trop. Je ne voudrai pas généraliser, mais ceci étant dit, vu la vitesse de croissance de mes noisetiers, il est évident que la production est insuffisante pour le besoin en rame et tutti quanti.

Merci quand même pour votre aide.

En parlant d’écureuil, cela me fait penser aux hérissons. Il y a des années où on en trouve qui essayent de se suicider sur les routes le soir tard. J’en avais récupéré quelques uns que j’avais mis dans mon terrain, mais à l’époque il n’était pas muré, alors au bout d’un certain temps je ne les ai plus vu. J’ai entendu dire qu’ils sont friands de limaces et d’escargots, hors chez moi j’en ai à foison ! Mon idée est-elle saugrenue ? D’autre part est-ce que l’espace sera suffisant pour assurer leur subsistance ?

Une année, mais cela ne s’est jamais plus reproduit, il y a un oiseau, je ne sais pas lequel, qui faisait la chasse aux escargots. Il les prenait en nombre et venait les manger sur la terrasse, je n’avais plus qu’à ramasser les coquilles vides.

A+