Ben il s'agissait du facteur chance: le mal est dans la bête. J'attends avant de tout arracher: je ne suis pas certain de l'identification de la "chose". C'est comme le marin sur le bateau qui coule: on espère toujours, même quand l'espoir est dérisoire, que la voie d'eau va se colmater toute seule...
Je sème plein d'autres choses pour donner le change à ma tristesse: c'est curieux l'importance symbolique qu'ont les tomates au potager. Sans elles, il manque quelque chose à l'été, le jardinier devient manchot, borgne... Des petites boules rouges qui signifient l'oeuvre menée à terme. Comment l'automne peut-il décemment pointer le bout du nez si le jardinier n'est pas allé cueillir ses dernières tomates?
Par la fenêtre, je vois la pluie qui tombe avec violence, emportant le traitement de BB-purin d'ortie-purin de prêle sans doute inutile à présent...
Fait ch***! Ce sera mon dernier mot!
:(
Oncle Fritz