Citation de bourru :

Comprends ma démarche «bourru».
Je fais exprès de ne pas en écrire plus à "roon", je préfère commencer par lui demander ce qu’il souhaite.

Je ne veux pas l’inciter ni qui que ce soit d’autre, à dévaliser le rayon phyto de l’hypermarché du coin pour que des solutions chimiques complexes réagissent dans l’environnement, d’autant plus que, quand elles retomberont au sol, elles seront inévitablement lessivées.

Si "roon" me répond qu’il veut une nouvelle haie de Lauriers, il devra d’abord les rabattre, c’est évident !
Et faire deux ou trois trucs après, comme déjà cité dans la discussion.
Je n’omettrai pas de lui dire avec conviction que le même problème ressurgira plus tard, mais néanmoins résolvable avec des réactions chimiques simples, beaucoup plus douces.

Maintenant je suis formel, j’ai identifié sur les photos la présence de deux insectes et deux champignons ravageurs, tous anéantissables par la guerre chimique totale !
D’autre part, comme déjà écrit, ce n’est pas un cas isolé et je peux avec quelques questions ciblées, identifier les causes qui amènent au diagnostique.

J’ai eu une conversation du même genre sur la mouche des cerises, un jardinaute me demandait si je pouvais lui donner le nom d’un produit systémique, à usage professionnel, qui plus est extrêmement actif et nocif par contact, inhalation et ingestion.
Sans me démontrer au préalable qu’on est soi-même professionnel ou très bien averti, c’est non !