| Auteur | réponse |
bourru
Grand(e) jardinier(e)
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vendredi 23 janvier 2015 à 10:27
Je n'avais pas l'intention de décrire ma pratique, car je pensais qu'elle ne valait que pour mon terroir, assez atypique : sol léger, très perméble, peu profond, assez pauvre, sous un climat chaud et aride en été.
Mais elle ressemble de très près à celle de Momone, qui est pourtant dans des conditions très différentes.
Comme elle, des trous les plus grands possibles, (mais remplis de fumier), noyés à refus.
Comme elle, le moins d'arrosages en cours de végétation.
Comme elle, les plants couchés et le mulch.
Nuance : pour le mulch, dont je n'attends que la capacité à conserver la fraicheur, pas de plantesnourrissantes comme orties ou consoude. Tout simplement de la fougère, grossièrement hachée.
Pourquoi de la fougère? Pas pour des propriétés magiques particulières  . Tout simplement parce que j'en ai plein alentours (trop).
Passer pour un idiot, aux yeux des imbéciles, est un plaisir de fin gourmet... Georges CourtelineMon Blog Des fiches sérieuses sur les fruitiers, des coups de gueules polémiques, et quelques poèmes farfelus.
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herve
Habitué(e) du jardin
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dimanche 25 janvier 2015 à 08:53
Bonjour et merci pour toutes vos réponses, que je trouve très pertinentes.
Je retiens que la culture des tomates n’est pas une science exacte. Chacun à sa technique préférée.
C’est aussi un plaisir enrichissant que de parler avec des jardiniers, qui s’intéressent quelque peu a leur culture.
J’adore déambuler dans les jardins ouvriers, à l’atmosphère si bucolique. Parfois rustique avec de vielle cabane, parfois moderne avec un chemin bitumé…
Mais toujours des différences flagrantes de rendement de culture.
Pourquoi un jardin voisin à une belle production de tomate c½ur de b½uf, avec des pieds a hauteur d’homme et que d’autre on du mal à dépasser le nombril (sans trop de tomates a venir !)
Bien sur qu’il y a une raison ! ….
En parlant avec les nombreux jardiniers rencontrés, on se rend compte que tout est dit et son contraire. Grrrrr
J’ai quand même réussi a faire une petite synthèse de ce qui me semble le plus efficace et logique.
Je vous donnerais le résultat de mes « gamberges ».
Alors cette année, je vais faire quelques tests.
Peu être que vous avez envie de faire des essais de cultures (simples approches)?
Le but serait de gagner : en qualité gustative, en rendement, en temps, en l’argent (produits phytos).
Hervé
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